Vendredi, Août 5, 2005

Poursuite de caisse de drogue toute la fumée, aucun feu

Par JOEL CONNELLY
CHRONIQUEUR DE SEATTLE POST-INTELLIGENCER

Dans leur recherche de la preuve que Bigfoot existe, les chercheurs doivent prendre des échantillons de cheveux provenant de Washington, C.C, bureaux de patron Karen Tandy d'administration d'application de drogue.

Tandy a laissé des empreintes de pas géantes sur la poursuite de drogue de Vancouver, de B.C., d'entrepreneur de pot de vente par correspondance, et de fondateur de B.C. Marijuana Party, émeris de marc.

Avec un rapport peu judicieux politisant le cas qui a également mal épelé le prénom de l'émeris, le patron de DEA peut aider à transformer un chercheur de publicité en martyre canadien.

Chercher à arrêter son extradition aux Etats-Unis -- où il fait face à des frais du trafic en graines de marijuana -- l'équipe légale de l'émeris pourrait employer les mots de Tandy à dire l'effet : Leur client est poursuivi pour sa croyance.

Le bureau du mandataire des ETATS-UNIS à Seattle a apporté à des frais contre l'émeris la semaine dernière, basée sur le travail investigateur par le bureau local de DEA.

Les Fédéraux allèguent que l'émeris a colporté ses sud d'articles de la frontière. Une connaissance, dans les affaires croissantes ici, hier a plaisanté qu'il a reçu l'"message de sollicitation, service efficace et courtois" récemment tout en achetant des graines au magasin de Vancouver de l'émeris. Il a poliment refusé une demande de prélever le produit résultant.

Mais l'émeris extradant, par les cours canadiennes et par la suite le ministère de justice, sera sensible.

Ni est la conviction dans de Seattle donné. La ville a voté en 2003 pour mettre la possession de pot au fond des priorités d'application de loi.

Les autorités à ce Washington ont astutely adopté des Juste-le-Faits s'approchent, transformant la caisse d'émeris en zone de emphase-free.

Considérez le fracas contrastant du rapport de Tandy du siège social de DEA à autre Washington.

"l'arrestation d'aujourd'hui de l'émeris (sic) de Scott de marque, de l'éditeur du magasin de culture de cannabis et du fondateur d'un groupe de légalisation de marijuana, est un coup significatif non seulement aux échanges de trafic de marijuana des ETATS-UNIS et du Canada, mais également au mouvement de légalisation de marijuana."

Pourquoi ? Tandy nous donne une dose maniable d'insinuation.

des "centaines de milliers de dollars des bénéfices illicites de l'émeris sont connues pour avoir été creusées des rigoles vers des groupes de légalisation de marijuana actifs aux Etats-Unis et au Canada. Les intrigants de légalisation de drogue ont maintenant un moins de pot d'argent à compter dessus."

En tant que du vieux TV Wendy la tache demandait, où est le boeuf ?

Tandy ne cite aucune évidence de support. N'importe qui qui a été témoin de Seattle Hempfest -- le plus grand festival marijuana-connexe de la nation -- est probable au scoff.

l'"émeris de marc n'a jamais donné un penny à Seattle Hempfest ou Seattle sensible (commanditaire d'une initiative 2003)," a dit Dominic Holden, organisateur à long terme de Hempfest.

"s'il , nous les avocats américains pourraient conduire de nouvelles voitures et vivre dans les maisons gentilles comme les activistes au Canada," il a ajouté.

Le rapport de Tandy enverra le nationaliste-de-le-nord vers le haut dans la fumée.

"la grande agitation ici semble être la notion que nous soumettons à l'application de loi américaine," a dit Rafe Mair, un avocat et par radio les plus connus de Vancouver parler-montrent le centre serveur.

Le Canada se déplace vers la possession decriminalizing de marijuana. Il a toujours sur les livres que une loi contre la vente du pot sème, mais le démuni de police a poursuivi la graine de l'émeris se vendant par catalogue ou hors de son magasin de Vancouver.

La main lourde est rien de neuf. La politique John en chef Walters de drogue des ETATS-UNIS a visité Vancouver en 2002. Il a averti maire Philip Owen qui le passage de la frontière deviendrait plus dur si la ville adoptait une politique de drogue basée sur la tolérance et le traitement.

"c'était la réunion la plus insuffisante de ma vie," Owen dit. "la pression était intense."

Owen a été réussi par maire courant Larry Campbell de Vancouver. Une ancienne cannette de fil de peloton de coroner et de drogue, Campbell veut légaliser -- et imposer -- la marijuana.

les "tsars de drogue sont les personnes les plus mal renseignées dans le gouvernement... Ils vivent toujours dans une ère de 'folie de cargueur, '"Campbell dit dans une entrevue récente, se rapportant au film beaucoup-lancé des satires des années 30. Il a été appelé cette semaine au sénat canadien.

Vancouver a adopté une approche de "quatre piliers" à l'utilisation de drogue : Traitement, réduction de mal, empêchement et application.

En revanche, Karen Tandy est un intransigeant de département de justice qui, dans les mots de Sen. Dianne Feinstein de la Californie, "ne semble pas favorable à l'écoute."

Elle est un procureur fédéral de carrière qui est allé après des vendeurs de bong de vente par correspondance et impliqué en contrecarrant le programme médical électeur-approuvé de la marijuana de la Californie.

Le disque du patron de DEA est marqué par des accusations de fanatisme prosecutorial excessif, selon une recherche 2003 par le magasin de nation.

Elle a par le passé attendu jusque à trois jours avant épreuve pour retourner 60.000 pages des documents aux mandataires de défense.

Dans le cas courant, elle donne à émeris une plus grande étape pour se pavaner sa substance.

"ce semblerait, de ses rapports, cette poursuite est au sujet des efforts politiques de M. Emery's de légaliser la marijuana autant qu'il est au sujet de ses affaires," a dit Murray Mollard, directeur de l'union de libertés civiles de B.C..

Et est exactement ce ce que les procureurs des ETATS-UNIS doivent éviter s'ils veulent l'émeris, plutôt que leur cas, pour aller des sud.